LerĂȘve amĂ©ricain vire au cauchemar sa femme, la bonne Patricia, Giovanny Fonseca, «28 ans, qui vit aux Etats-Unis depuis cinq ans, sans papiers, dans la merde, et qui est pourtant mariĂ©

Il y a dix ans, JesĂșs RodrĂ­guez a fait croire Ă  ses enfants qu'il vendait ses meubles pour aller s'installer Ă  Disney World avec eux. Il avait en fait besoin d'argent aprĂšs avoir perdu sa maison, comme des millions de familles victimes de la crise aux le salon de l'appartement qu'il loue aujourd'hui Ă  Coral Springs, au nord de Miami en Floride, le pĂšre de famille de 57 ans a la gorge nouĂ©e Ă  l'Ă©vocation de ses dĂ©boires immobiliers."Je me souviens que mes enfants Ă©taient trĂšs jeunes lorsque nous avons commencĂ© Ă  tout vendre", raconte-t-il. "Ils m'ont dit +Papa, oĂč est-ce qu'on va ?+ Et je leur ai rĂ©pondu que nous allions Ă  Disney World. Ils m'ont alors demandĂ© si Disney Ă©tait si cher que nous devions vendre le frigo et les lits". Durant les annĂ©es qui ont prĂ©cĂ©dĂ© la crise, accĂ©der Ă  la propriĂ©tĂ© Ă©tait d'une grande simplicitĂ©. Pas besoin de dĂ©montrer sa capacitĂ© de paiement les banques prĂȘtaient Ă  tout-va et les intermĂ©diaires engrangeaient des millions en revendant de la RodrĂ­guez a Ă©migrĂ© aux Etats-Unis en 2005 avec sa famille pour fuir la crise politique frappant son pays, le Venezuela. Il a contractĂ© un emprunt peu de temps aprĂšs pour acheter un appartement qui lui donnait l'illusion de vivre le "rĂȘve amĂ©ricain", alors qu'il ne gagnait que dollars par mois comme employĂ© d'une imprimerie."Mon voisin Ă©tait livreur de pizzas et il a obtenu le mĂȘme prĂȘt", l'avocate Shari Olefson, spĂ©cialisĂ©e dans les saisies immobiliĂšres, la crise a Ă©tĂ© alimentĂ©e par les nombreux prĂȘts hypothĂ©caires Ă  haut risque - les subprimes - accordĂ©s par des banques "dĂ©terminĂ©es Ă  faire beaucoup d'argent". MalgrĂ© la hausse inquiĂ©tante des prix de l'immobilier et les mises en garde d'Ă©conomistes, "de nombreux AmĂ©ricains sans expĂ©rience dans les biens immobiliers ont cru qu'ils pouvaient devenir investisseurs", pointe l'experte, auteure de plusieurs livres sur le Des dettes impayables -La bulle s'est finalement dĂ©gonflĂ©e, la valeur des biens s'est effondrĂ©e, les intĂ©rĂȘts ont augmentĂ©, les dettes ont atteint des niveaux absurdes et les gens ont arrĂȘtĂ© de 4% d'intĂ©rĂȘts payĂ©s par JesĂșs RodrĂ­guez ont ainsi grimpĂ© Ă  14% en un an et sa dette est devenue "impayable". AprĂšs une deuxiĂšme hypothĂšque, la famille devait en 2008 quelque dollars pour un appartement dont la valeur avait chutĂ© Ă  dollars."Les frais ont commencĂ© Ă  augmenter et, d'un coup, le nombre de dĂ©fauts d'emprunts a explosĂ©", dĂ©taille Mme Olefson. "Alors que davantage de gens faisaient l'objet de saisies, l'offre immobiliĂšre grossissait sur le marchĂ© et cela a commencĂ© Ă  faire baisser les prix. Et la panique s'est installĂ©e".Plus de la moitiĂ© des foyers de Floride Ă©taient crise des "subprimes", qui a dĂ©marrĂ© en 2006 avant d'atteindre son paroxysme deux ans plus tard, a provoquĂ© la chute de banques et d'institutions rĂ©percussions spectaculaires partout dans le monde ont donnĂ© naissance Ă  la pire dĂ©pression Ă©conomique depuis les annĂ©es un rapport de 2009 de RealtyTrac, une sociĂ©tĂ© spĂ©cialisĂ©e dans les donnĂ©es immobiliĂšres, l'annĂ©e 2008 a vu un nombre record de "dossiers de saisie".Quelque 3,1 millions d'entre eux ont ainsi Ă©tĂ© ouverts en 2008 aux Etats-Unis, soit 81% de plus que l'annĂ©e prĂ©cĂ©dente et 225% de plus qu'en les Etats les plus touchĂ©s le Nevada, l'Arizona et la Floride, oĂč 4,5% des biens immobiliers Ă©taient alors concernĂ©s par un dossier de Et maintenant ? -Ironie du sort, JesĂșs RodrĂ­guez travaille aujourd'hui comme conseiller financier pour une compagnie d'assurances. "J'aide dĂ©sormais les gens Ă  ne pas tomber comme j'ai pu le faire, Ă  ne pas s'endetter autant", confie-t-il. "Je leur apprends Ă  s'occuper de leur indĂ©pendance financiĂšre, de leur Ă©pargne, de leur fonds de pension et de ce genre de choses. C'est comme un renvoi d'ascenseur".Les experts estiment que le systĂšme financier a tirĂ© les leçons de ses erreurs et qu'il est peu probable de voir se produire Ă  nouveau une crise hypothĂ©caire du mĂȘme genre, notamment parce qu'il est plus difficile d'accĂ©der Ă  un emprunt. © 2018 AFP VotrerĂȘve amĂ©ricain ne virera pas au cauchemar ! Vus de France, les Etats-Unis apparaissent souvent comme un eldorado pour les entrepreneurs français. La rĂ©alitĂ© est trĂšs diffĂ©rente Lire plus tard. Commenter. Partager. Partager. Portraits innovateurs. La conquĂȘte du marchĂ© amĂ©ricain, entre rĂȘve et rĂ©alitĂ©. (Shutterstock) PubliĂ© le 13 aoĂ»t 2015 Ă  17:06 Mis Ă  Les rĂ©actions Ă  mon dĂ©but de carnet de voyage dans le Grand Ouest amĂ©ricain » ont suscitĂ© des rĂ©actions d’adversitĂ© et de rejet des Etats-Unis qui me laissent perplexe
 C’est un sentiment largement partagĂ©, dans le milieu bobo parisien qui est le mien. Chaque Ă©lection prĂ©sidentielle aux Etats-Unis apporte son lot de commentaires dĂ©sobligeants, avec la sempiternelle sentence dĂ©finitive les amĂ©ricains sont des gros cons ». Et tout y passe, dĂšs le 17e siĂšcle l’activitĂ© exterminatrices des colons avec les populations locales, les indiens en l’occurrence. La violence, bien sĂ»r, la floraison d’armes Ă  feux, la constitution des Etats-Unis qui autorise ces armes Ă  feux. C’est le deuxiĂšme amendement qui garantit Ă  tous citoyens amĂ©ricains de porter des armes Bill of Rights. La violence sociale Ă  l’égard des minoritĂ©s. Les anciens vĂ©tĂ©ran de la guerre du Vietnam abandonnĂ© sur le macadam, l’esclavage pas si vieux que cela, la crise qui engendre aussitĂŽt le dĂ©classement social. Mais il y a aussi le libĂ©ralisme Ă©conomique qui tue, la rĂ©fĂ©rence aux fameux Chicago’s Boys de Milton Friedman, la contamination de ces idĂ©es perverses en Europe. Le travail de sape pour ruiner la protection sociale et les acquis du Front Populaire en France. Les Etats-Unis ignorerait la protection sociale que ce soit les retraites oĂč la santĂ©, mais aussi le coĂ»t exorbitant de l’éducation. Les salariĂ©s ne connaissent ni les congĂ©s payĂ©s trĂšs rĂ©duits en fait ni un code du travail qui les protĂ©gerait des patrons. EmbauchĂ© du jour au lendemain, certes, mais virĂ©s aussi le soir mĂȘme. Bref cela tonne, cet impitoyable exercice de procureur, se fait sans que la parole soit donnĂ©e Ă  la dĂ©fense. Mais les français sont-ils les mieux placĂ©s pour instruire un tel procĂšs ? Que ce soit dans le passĂ© ou dans le prĂ©sent il y aurait beaucoup Ă  dire et Ă  raconter. Il n’y a pas de quoi ĂȘtre fier de la sociĂ©tĂ© française d’aujourd’hui et je ne vois pas en quoi nous serions la lumiĂšre capable d’éclairer le monde. La dĂ©mocratie française est trĂšs rĂ©cente, nous n’avons donnĂ© le droit de vote aux femmes qu’à la LibĂ©ration alors que les amĂ©ricains le faisaient en 1920. C’est le prĂ©sident Wilson qui fit ce pas de gĂ©ant. Certes les luttes actives d’Alice Paul et Lucy Burns, ainsi que le National Women Party avaient fait le nĂ©cessaire voir le magnifique film Iron Jawed Angels. Il faudra attendre l’ordonnance du 21 avril 1944 pour qu’en France les femmes et les militaires votent pour la premiĂšre fois aux Ă©lections municipales le 20 avril 1945. Quel beau pays ! La proclamation de l’IndĂ©pendance et de la rĂ©publique, a lieu le 4 juillet 1776, bien avant 1789. Si les pĂšres fondateurs se sont inspirĂ©s du siĂšcle des lumiĂšres en Europe, ils ont aussi puisĂ© dans les racines de la Glorieuse rĂ©volution de 1688 en Angleterre. Nous mettons volontiers en avant nos propres penseurs Montesquieu, Voltaire, Diderot, Rousseau, mais c’est vite oubliĂ© de que des Benjamin Franklin, Thomas Jefferson, Thomas Paine, Samuel Adams, Robert Livingston mais aussi John Locke en Angleterre ont eux aussi largement contribuĂ© Ă  Ă©difier la notion de RĂ©publique, d’Etat de droit, et de LibertĂ©s individuelles
 C’est seulement seize ans plus tard le 21 septembre 1792 que les dĂ©putĂ©s de la Convention, proclament l’abolition de la Monarchie en France. Ils ne proclameront jamais directement la rĂ©publique mais dĂšs le lendemain ils dĂ©cident de dater tous les actes de l’An 1 de la rĂ©publique. Quant Ă  revenir sur ces gros cons d’amĂ©ricains » 
 on peut noter plus subtilement que la critique vise Ă  pointer la culture amĂ©ricaine comme une sous-culture, hĂ©ritiĂšre d’une grand culture europĂ©enne principalement britannique, allemande et française
. Il est vrai que le nouveau monde » ne date que de seulement deux siĂšcles
 est-ce pour autant qu’il ne faut la voir que comme un sous-produit hĂ©gĂ©monique imposĂ©s de force au monde entier avec comme seul symbole la banniĂšre Ă©toilĂ©e, la tarte aux pommes et la batte de baseball ? Mais vraiment est-il nĂ©cessaire de rappeler, ne serait-ce que fugitivement, que les Etats-Unis d’AmĂ©rique loin de seulement copier ont eu de grands crĂ©ateurs dans toutes les disciplines et qu’en 200 ans ils ont largement rattrapĂ© leur retard en produisant La littĂ©rature. Erskine Caldwell publie Le petit Arpent du bon Dieu en 1933, John Steinbeck Les Raisins de la colĂšre, publiĂ© en 1939, reçoit le Prix Pulitzer en 1940. MalgrĂ© la pĂ©riode noire du maccarthisme, Arthur Miller Ă©crit et fait jouer Les sorciĂšres de Salem. On peut citer, mais il y en a tant 
Ernest Hemingway, James Fenimore Cooper, Edgar Allen Poe, Margaret Fuller, Mark Twain, Edgar Rice Burroughs, Jack London , Ezra Pound, Howard Philips Lovecraft, F. Scott Fitzgerald, John Dos Passos, William Faulkner, AnaĂŻs Nin, Eugene O’Neill, Paul Bowles, Tennessee Williams, Isaac Asimov, Ray Bradbury, Sam Shepard, Paul Auster, etc
 Le cinĂ©ma. John Ford adapte au cinĂ©ma les raisins de la colĂšre et en fait un chef d’Ɠuvre de l’histoire du cinĂ©ma. Richard Llewellyn, lui rĂ©alise Qu'elle Ă©tait verte ma vallĂ©e, autre grande rĂ©fĂ©rence cinĂ©matographique qui retrace la vie des mineurs du Pays de Galles. L’immense Charlie Chaplin avec Le Dictateur en 1940 et Les Temps modernes en 1936, entre autre. Franck Capra, bien sĂ»r avec Vous ne l'emporterez pas avec vous 1938, Mr. Smith au SĂ©nat 1939. La musique avec George Gershwin, mais c’est aussi l’invention du jazz, du Ragtime, du Rapp, du NĂ©gro Spiritual et du Gospel, la musique Country, le Blues, la Soul et le Funk, le Rock en Roll et la Pop Music L’architecture avec immense Frank lloyd Wright, et Richard Buckminster Fuller, James Wines, Frank Gehry, I. M. Pei, Pietro Belluschi
 Mais il faudrait aussi traiter les peintres, les sculpteurs, les photographes etc
 Enfin je ne peux que conseiller la lecture de l’excellent ouvrage de FrĂ©dĂ©ric Martel De la Culture en AmĂ©rique qui fait plus que relativiser l’apprĂ©ciation peu flatteuse des français Ă  l’égard des amĂ©ricains. Le livre est une bombe dans les milieux intellectuels en France, la preuve par quatre est faite que les amĂ©ricains ont dĂ©veloppĂ© un mode d’organisation culturel tout aussi efficace, si ce n’est plus que notre systĂšme Ă©tatique et interventionniste. Quelques chiffres comme repĂšre Nombre d'artistes 2002 2 millions, soit plus qu'en Europe ce chiffre comprend les acteurs, les musiciens et les Ă©crivains Nombre de bibliothĂšques 120 000 soit un des plus hauts taux au monde par habitant Nombre de musĂ©es 17 500 dont 1 000 musĂ©es d'art Nombre de compagnies de danse professionnelles 250 Nombre d'orchestres symphoniques 1 800 dont orchestres permanents 900, dont orchestres professionnels 350 Nombre de compagnies d'opĂ©ra 96 Nombre de théùtres professionnels Ă  but non lucratif 1 270 Nombre de théùtres communautaires Noirs, Hispaniques, Gays... 7 000 Scolarisation 2e degrĂ© pour 100 en 2003 85,3 Scolarisation 3e degrĂ© pour 100 en 2003 81,4 Pourcentage d'une classe d'Ăąge entrant Ă  l'universitĂ© 81 % contre, 54 % environ en France sans compter les CPGE, les IUT/BTS et autres formations non universitaires [Chiffre Unesco, 2001-2002] Nombre de tĂ©lĂ©viseurs pour mille habitants en 2003 938 Livres publiĂ©s titres en 2006 150 000 dont seulement 1 500 environ en traduction soit prĂšs de 1 % Pratiques culturelles des AmĂ©ricains de plus de 18 ans en 2002 40 % ont fait une sortie culturelle dans l'annĂ©e hors cinĂ©ma foire, concert de rock, artisanat 3 % sont allĂ©s Ă  l'opĂ©ra 12 % sont allĂ©s au théùtre hors comĂ©die musicale 11 % sont allĂ©s Ă  un concert de jazz 27 % ont frĂ©quentĂ© un musĂ©e d'art Bon
 on peut zapper et retourner Ă  une investigation plus nuancĂ©e et plus balancĂ©e de la sociĂ©tĂ© amĂ©ricaine, vue du cĂŽtĂ© du Grand Ouest ?
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Cest diffĂ©rent de la France; emplois, nourriture, coĂ»t de la vie. Voici, 6 raisons de ne pas venir habiter aux USA. 1. La sĂ©curitĂ© de l’emploi. La sĂ©curitĂ© de l’emploi est une des raisons de ne pas venir habiter aux USA. C’est pourtant une des
ï»żGĂ©nĂ©ralement perçus comme une terre d’évasion, les États-Unis sont une nation aux multiples cultures qui attirent plus d’un. Vivre aux États-Unis reprĂ©sente pour certains un objectif Ă  atteindre Ă  tout prix. Malheureusement, la rĂ©alitĂ© peut ĂȘtre tout autre. La vie dans ce pays n’est souvent pas aussi facile et belle que vous pouvez l’imaginer. Vivre en AmĂ©rique constitue-t-il alors un rĂȘve ou un cauchemar ? ÉlĂ©ments de rĂ©ponse ! Pourquoi les États-Unis sont-ils la destination rĂȘvĂ©e de nombreuses personnes ? Aux États-Unis, tout vous est accessible. Nul besoin d’effectuer des kilomĂštres de trop pour trouver ce dont vous avez besoin, car il existe des boutiques, des fast-foods, des distributeurs, des kiosques, des pharmacies Ă  tous les coins de rue. Par ailleurs, les États-Unis sont un pays dotĂ© de divers lieux qui font de lui l’une des meilleures destinations de vacances. Vous pouvez ainsi y trouver diffĂ©rentes destinations phares telles que les lieux touristiques, les montagnes, les somptueux hĂŽtels et les plages. Vous aurez aussi l’opportunitĂ© d’apprĂ©cier des maisons de rĂȘve aux belles vues sur mer, des parcs d’attractions, des musĂ©es aux histoires remarquables et bien d’autres endroits encore. L’une des autres raisons pour lesquelles beaucoup nourrissent tant ce rĂȘve de vivre aux États-Unis est le faible taux de chĂŽmage. PremiĂšre puissance mondiale, les États-Unis dĂ©tiennent les plus grandes firmes. L’entrepreneuriat et la crĂ©ativitĂ© dans ce pays sont trĂšs encouragĂ©s. Pour vous faire de l’argent, il vous suffit d’ĂȘtre motivĂ©s, puisque ce ne sont pas les opportunitĂ©s d’emploi qui manque. Vivre aux États-Unis dĂ©sillusion ? Passer des sĂ©jours ou vivre dĂ©finitivement aux États-Unis n’est pas sans danger. Les salaires sont Ă  la hauteur du coĂ»t de la vie. Toutefois, avec une Ă©conomie trĂšs solide, vous comprendrez donc que tout est coĂ»teux. L’alimentation, les frais de scolaritĂ©, la couverture de santĂ©, les transports, les frais de logement, les loisirs et les diffĂ©rentes assurances sont autant de responsabilitĂ©s Ă  assumer. Puisque les charges sont importantes, Ă©conomiser de l’argent devient trĂšs compliquĂ©. De plus, aux États-Unis, les employĂ©s sont moins protĂ©gĂ©s et le systĂšme de la sĂ©curitĂ© sociale est trĂšs diffĂ©rent de ce qui se voit ailleurs. Cela n’exclut mĂȘme pas le port d’armes qui est la vĂ©ritable peur qui rĂšgne chez les habitants de ce pays. En effet, tout individu peut ĂȘtre autorisĂ© Ă  porter une arme Ă  feu. L’insĂ©curitĂ© est donc une rĂ©alitĂ© palpable qui n’est pas prĂšs de changer dans ce pays. Vols Ă  mains armĂ©es, viols, racisme, fusillades, voilĂ  tant de situations dĂ©plorables auxquelles vous pouvez assister tous les jours. DĂšs que vous vous rendez dans ce pays, ne soyez donc pas surpris de vous faire agresser en pleine rue ! En outre, le climat est ce qui pourrait vous rendre encore la vie plus dure. Entre gel, froid glacial, temps trĂšs chauds, vous n’allez sĂ»rement pas vite vous adapter. Vos sĂ©jours sur ce territoire vous montreront aussi Ă  quel point la population est toujours pressĂ©e. Un rĂȘve Ă  rĂ©aliser malgrĂ© tout Aller passer de belles vacances aux États-Unis, c’est bien, mais y vivre pour de bon mĂ©rite mĂ»res rĂ©flexions. Ce pays a beaucoup de surprises pour vous. Alors, si vous voulez rĂ©aliser votre rĂȘve d’y vivre, prenez le temps d’évaluer tous les aspects d’une telle dĂ©cision. Assurez-vous que vous aurez le budget nĂ©cessaire pour subvenir Ă  vos besoins et garantir votre propre sĂ©curitĂ©. Vivre aux États-Unis est un rĂȘve trĂšs prometteur qui pourrait rapidement devenir un cauchemar. Pour minimiser les risques, il vous revient de savoir ce que vous voulez rĂ©ellement y faire.
LĂ©loge du carburateur de Mattew Crawford qui dĂ©crit la perte des savoir faire pratiques aux Etats Unis ou l’on ne forme plus que des
Une femme Ă©tait toujours portĂ©e disparue, lundi, aprĂšs avoir Ă©tĂ© entraĂźnĂ©e vendredi par une crue dans le parc national de Zion, dans l'Utah. Article rĂ©digĂ© par PubliĂ© le 23/08/2022 0650 Mis Ă  jour le 23/08/2022 0739 Temps de lecture 1 min. Une nouvelle catastrophe mĂ©tĂ©orologique dans l'ouest amĂ©ricain. Des crues subites ont emportĂ© des randonneurs et dĂ©clenchĂ© des Ă©vacuations dans cette rĂ©gion des Etats-Unis, cĂ©lĂšbre pour ses parcs naturels. En cause des pluies torrentielles qui s'abattent depuis le week-end du 20 et 21 aoĂ»t et qui n'ont pas pu ĂȘtre absorbĂ©es par des sols assĂ©chĂ©s depuis des mois. Une femme Ă©tait toujours portĂ©e disparue, lundi 22 aoĂ»t, aprĂšs avoir Ă©tĂ© entraĂźnĂ©e vendredi par une crue dans le parc national de Zion, dans l'Utah, cĂ©lĂšbre pour ses falaises de roche rouge et ses canyons. La soudaine montĂ©e des eaux a aussi blessĂ© un autre randonneur, emportĂ© sur des centaines de mĂštres, et bloquĂ© plusieurs autres jusqu'Ă  ce que des gardes ne les secourent, a annoncĂ© l'agence qui gĂšre les parcs nationaux, le NPS. Quelque 200 visiteurs ont par ailleurs dĂ» ĂȘtre Ă©vacuĂ©s aprĂšs avoir Ă©tĂ© piĂ©gĂ©s plusieurs heures par la montĂ©e des eaux dans les grottes du parc national de Carlsbad, au Nouveau-Mexique, sans qu'aucun blessĂ© ne soit Ă  dĂ©plorer. L'activitĂ© humaine, notamment l'usage des Ă©nergies fossiles, a conduit selon les scientifiques au rĂ©chauffement de la planĂšte, qui a Ă  son tour contribuĂ© Ă  rendre plus frĂ©quents et violents les phĂ©nomĂšnes mĂ©tĂ©orologiques extrĂȘmes. SiMourad Zeggari est sur le point de rĂ©aliser son rĂȘve, Ă  l'amĂ©ricaine, avec l'application ''We Ad Good'' (Var-matin du 27 octobre), le rĂ©veil a Ă©tĂ© pour le moins « difficile » hier pour Au Honduras, un groupe d'anciens migrants, mutilĂ©s Ă  la suite des blessures occasionnĂ©es par "La Bestia", le train qu'ils empruntent pour traverser le Mexique. Copyright © 2014 Tomas Ayuso - Noria Research. All rights reserved "Si j'arrive Ă  atteindre les Etats-Unis, j'espĂšre pouvoir Ă©tudier, devenir mĂ©decin, et revenir ensuite pour soulager toute cette souffrance." Les mots de Wilmer, 11 ans, l'un des nombreux adolescents lancĂ©s dans l'Ă©prouvante traversĂ©e depuis l'AmĂ©rique centrale vers le mirage amĂ©ricain, rĂ©sonnent encore aux oreilles de Tomas Ayuso. Chercheur spĂ©cialiste des migrations, mais aussi des trafics entre l'isthme amĂ©ricain et les Etats-Unis, il a enquĂȘtĂ© pendant six mois sur le chemin parcouru par les migrants d'AmĂ©rique centrale vers "Le Nord", comme ils appellent les Etats-Unis. Egalement photographe, il a mis en ligne, sur le site de Noria Research*, un long reportage photo. "Une gestion presque industrielle des mouvements de population"Les images racontent l'itinĂ©raire de quelques-uns des dizaines de milliers d'ĂȘtres humains "chassĂ©s de chez eux, parce que dĂ©nuĂ©s de droits, Ă©lĂ©mentaires, et pourtant hors d'atteinte dans le Honduras du 21e siĂšcle", explique Tomas Ayuso dans l'introduction de son documentaire logement, revenu digne, mais aussi le "droit de vieillir en paix". "Parce que la plupart de ceux qui partent sont des jeunes. Ils sont promis Ă  de terribles souffrances au cours de leur voyage", explique-t-il Ă  L'Express. C'est en voulant comprendre les origines des maux de son pays que le chercheur a ressenti le besoin de suivre le pĂ©riple de ces migrants. Il a dĂ©couvert une "gestion presque industrielle des mouvements de population" par les mafias. Wilmer. "Je ne crains pas de faire ce voyage, si je peux parvenir aux Etats-Unis pour y faire des Ă©tudes."Copyright © 2014 Tomas Ayuso - Noria Research. Droits reservĂ©sOffre limitĂ©e. 2 mois pour 1€ sans engagement Le voyage commence dans les quartiers informels qui ceinturent les grandes villes, oĂč s'entassent d'anciens paysans appauvris. Outre la misĂšre, l'emprise des gangs -les maras, est l'une des principales causes de leur exode. Les candidats au dĂ©part fuient la menace d'enrĂŽlement forcĂ© dans leurs rangs, le racket, la violence, un flĂ©au dont le Honduras possĂšde le triste record mondial pour un pays qui n'est pas en Ă©tat de guerre. Partir coĂ»te cher. Il faut s'en remettre Ă  des rĂ©seaux de passeurs, les coyotes, qui extorquent jusqu'Ă  7500 dollars pour planifier, transporter, se mettre en contacts avec d'autres coyotes tout au long de la pĂ©rilleuse expĂ©dition de prĂšs de 3000 km. La "Bestia" mangeuse d'hommesAprĂšs la traversĂ©e du Guatemala, Tomas Ayuso s'est mĂȘlĂ©, dans le sud du Mexique, Ă  des migrants de tous les pays d'AmĂ©rique centrale. Beaucoup vont traverser le pays sur les wagons de la Bestia, "la bĂȘte", le train de marchandises ainsi baptisĂ© pour son sinistre bilan. Chaque annĂ©e, plusieurs dizaines de migrants meurent ou sont mutilĂ©s en tombant de l'Ă©chine de la Bestia. Jorge et Rolando, Ă  Arriaga. La Bestia, ils connaissent © 2014 Tomas Ayuso - Noria Research. Droits reservĂ©sSur la route du rĂȘve amĂ©ricain, les dangers sont multiples outre la Bestia, les voyageurs sont victimes de vols, de la violence des gangs, parfois sĂ©questrĂ©s afin de sous-tirer une rançon Ă  leur famille, quand ils ne tombent pas sous les balles de ces mafias. La plupart n'atteindront jamais le "Nord". "Le Mexique est un vĂ©ritable cimetiĂšre de migrants centramĂ©ricains", tĂ©moigne Tomas Ayuso. La police de l'immigration mexicaine, la Migra, durcit aussi chaque jour un peu plus sa traque pour freiner cet exode. "La Migra nous pourchasse sans pitiĂ©, Nous sommes des migrants, pas des criminels", proteste Rolando, un Salvadorien rencontrĂ© Ă  Arriaga, point de dĂ©part de la Bestia. Nous ne mĂ©ritons pas un tel traitement." La milice qui traque les migrantsPuis, Tomas Ayuso a changĂ© de perspective. Au sud des Etats-Unis, il s'est joint aux miliciens qui traquent les migrants. La plupart des membres de la milice Free Nebraska qui patrouillent le long de la frontiĂšre sont des vĂ©tĂ©rans des diffĂ©rents théùtres de guerre amĂ©ricains, lui a expliquĂ© l'un d'entre eux. Ces milices jugent les autoritĂ©s "incapables d'empĂȘcher qu'une partie de leur pays ne tombe sous la coupe des gangs" en provenance de la rive sud du Rio Grande. Alors ils estiment devoir s'en charger eux-mĂȘmes. Isaac, vĂ©tĂ©ran de la guerre d'Irak, patrouille au sein de la milice Free Nebraska pour traquer les © 2014 Tomas Ayuso - Noria Research. Droits reservĂ©sTomas Ayuso s'est ensuite plongĂ© au coeur de la diaspora hondurienne des Etats-Unis ; auprĂšs de ceux qui ont survĂ©cu Ă  tous les dangers de la route et rĂ©ussi Ă  s'installer dans le pays. Ces chanceux sont beaucoup moins nombreux que tous les expulsĂ©s. Exclusion et suicidesJusqu'Ă  trois vols par jour sont affrĂ©tĂ©s pour reconduire les migrants refoulĂ©s depuis les Etats-Unis vers le Honduras. Plus de 32 000 personnes sont rapatriĂ©es par avion chaque annĂ©e, estime le Centre d'aide aux migrants rapatriĂ©s CAMR, et un peu plus par voie terrestre. RenvoyĂ©s par bus depuis le Mexique, "ceux-lĂ  sont lĂąchĂ©s au milieu de nulle part, Ă  peine la frontiĂšre passĂ©e. LĂ , ils deviennent Ă  nouveau des proies faciles pour les trafiquants d'ĂȘtres humains", dĂ©plore le chercheur. L'Etat et plusieurs ONG accueillent les migrants revenus par les airs, dans la ville de San Pedro Sula oĂč atterrissent les vols de rapatriement. "Ne partez pas, a confiĂ© RenĂ© Ă  l'attention de ses compatriotes, c'est un cauchemar. Plus personne n'arrive Ă  traverser. Un par-ci par-lĂ , peut-ĂȘtre, ont cette chance. C'est effroyable, je ne risquerai pas ma vie une seconde fois", assure-t-il. "Bien d'autres, pourtant, m'ont dit vouloir retenter l'aventure dĂšs qu'ils auraient mis assez d'argent de cĂŽtĂ©", assure Tomas Ayuso. A San Pedro Sula, des "ateliers de rĂ©intĂ©gration" sont organisĂ©s pour les rapatriĂ©s. Le retour est souvent une infortune de plus. MĂ©prisĂ©s par leurs familles pour avoir Ă©chouĂ©, beaucoup sont bannis par leur proches qui ont beaucoup dĂ©pensĂ© dans l'espoir de recevoir par la suite un mandat rĂ©gulier, depuis "Le Nord" - les transferts de revenus envoyĂ©s par les Ă©migrĂ©s honduriens reprĂ©sentent environ un sixiĂšme du PIB du pays. RĂ©union de l'Association des migrants mutilĂ©s, dans la banlieue de © 2014 Tomas Ayuso - Noria Research. Droits reservĂ©sEnfin certains sont incapables de se remettre du traumatisme subi au cours de leur pĂ©riple. "Il n'existe pas de statistiques, mais le nombre de suicides est trĂšs Ă©levĂ© parmi les rapatriĂ©s", affirme Tomas Ayuso. "Nous avons tant souffert", tĂ©moigne Suyapa, au visage aussi juvĂ©nile qu'amer. Elle Ă©tait partie avec son fils de 4 ans. "Je ne rĂ©essaierai pas. Personne ne devrait... Si seulement on pouvait s'en sortir ici, parmi les nĂŽtres. Mais Ă  la vĂ©ritĂ©, c'est impossible". Soeur Lidia, une religieuse brĂ©silienne responsable d'un programme d'aide au rapatriĂ©s le dit avec d'autres mots chacun devrait avoir le droit d'Ă©migrer, mais aussi "le droit de ne pas ĂȘtre contraint Ă  Ă©migrer". >> Retrouvez le reportage de Tomas Ayuso The right to grow old. The Honduran migrant crisis *Noria Research est un Think Tank indĂ©pendant, basĂ© sur un rĂ©seau de chercheurs travaillant sur des questions de politique internationale, notamment les conflits et le crime organisĂ©. Catherine GouĂ«set Les plus lus OpinionsLa chronique d'Albert MoukheiberAlbert MoukheiberLa chronique de Vincent PonsVincent Pons, avec Boris VallĂ©eLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain Fort
Eviterque le rĂȘve amĂ©ricain devienne un cauchemar. Ă©tats-unis. Eviter que le rĂȘve amĂ©ricain devienne un cauchemar. L’obsession des AmĂ©ricains pour la rĂ©ussite les a menĂ©s tout droit Ă  la crise Ă©conomique actuelle. Ils devraient revenir Ă  des aspirations plus simples, estime l’écrivain Frederic Morton.
1 Salam Beaucoup de personne que j'ai croisĂ© en France rĂȘve un jour de vivre aux Etas Unis...Et vous 2 tu te poses beaucoup de question toi en ce moment 3 tu te poses beaucoup de question toi en ce moment c'est vrai et bizarement c'est mon dernier sujet espĂ©ros que se soit le bon ! 4 c'est vrai et bizarement c'est mon dernier sujet espĂ©ros que se soit le bon ! Ah tu avais fais une liste?? 5 Ah tu avais fais une liste?? nen pas tu tout, pour qui me prenait vous je vide simplement mon esprit pour echanger 6 TrĂšs bien, et toi tu penses quoi? Tu penses devoir quitter la France un jour? Pourquoi les Etats Unis? 7 TrĂšs bien, et toi tu penses quoi? Tu penses devoir quitter la France un jour? Pourquoi les Etats Unis? salam HonnĂȘtement les Etat Unis pour plusieurs rasisons Le travail La vie en couple 8 salam HonnĂȘtement les Etat Unis pour plusieurs rasisons Le travail La vie en couple la vie en couple, ici c'est pas possible ?? 9 la vie en couple, ici c'est pas possible ?? si t'arrives Ă  lui soutirer son Ăąge prĂ©viens mois 10 si t'arrives Ă  lui soutirer son Ăąge prĂ©viens mois merci pour moi....................................... 11 si t'arrives Ă  lui soutirer son Ăąge prĂ©viens mois J'avoue que je reste perplexe 12 Salam Beaucoup de personne que j'ai croisĂ© en France rĂȘve un jour de vivre aux Etas Unis...Et vous pas interessĂ© perso. Businesser avec eux pourquoi pas mais m' y installer non merci, ceci dis pourquoi si une personne qui souhaite y aller deux ou trois ans pour parfaire son anglais. 13 c'Ă©tait pour la vie de couple vous ĂȘtes nases les filles waRm Use with caution 14 Salam Beaucoup de personne que j'ai croisĂ© en France rĂȘve un jour de vivre aux Etas Unis...Et vous pas spĂ©cialement et toi? 15 pas interessĂ© perso. Businesser avec eux pourquoi pas mais m' y installer non merci, ceci dis pourquoi si une personne qui souhaite y aller deux ou trois ans pour parfaire son anglais. salam Si t"as une bone place lĂ  bas que tu rencontres des gens super gentil et si y'a moyen de faire ta vie ! t'abandonne moi je trouve les americans plus croyant que les français de souche y'a mĂȘme des enquĂȘtes qui le dĂ©montre 16 salam moi si , les magrhĂ©bins rĂ©ussisent deux fois la bas qu'en France...elles ne sont pas dans la marginalitĂ© ni dans les prisons elles sont intĂ©grĂ© socialement tout en pratiquant waRm Use with caution 17 salam Si t"as une bone place lĂ  bas que tu rencontres des gens super gentil et si y'a moyen de faire ta vie ! t'abandonne moi je trouve les americans plus croyant que les français de souche y'a mĂȘme des enquĂȘtes qui le dĂ©montre et? ... si le but est de trouver des croyants, t'es pas obligĂ© d'aller jusque labas, les espagnols sont plus "croyants" comme tu dis... mais bon jcomprends pas cette logique en meme temps 18 c'Ă©tait pour la vie de couple vous ĂȘtes nases les filles salam les hommes en France que j'ai croisĂ© y'a du boulot 19 salam Si t"as une bone place lĂ  bas que tu rencontres des gens super gentil et si y'a moyen de faire ta vie ! t'abandonne moi je trouve les americans plus croyant que les français de souche y'a mĂȘme des enquĂȘtes qui le dĂ©montre J'ai un paquet d'amis qui vivent sur New York, je vois comment ils vivent et franchement ca ne me donne pas vraiment envie de faire de meme. Meme avec un tres bon salaire la vie y est hors de prix. Dans d'autres villes je sais pas. De toute façon je ne me vois pas faire ma vie dans un pays loin aussi loin de la famille, j'ai tentĂ© le Canada, au bout d'un moment j'en ai eu marre et j'ai lachĂ© l'affaire. Je suis d'ailleurs sur le point de perdre mon statut de resident permanent. . waRm Use with caution 20 salam moi si , les magrhĂ©bins rĂ©ussisent deux fois la bas qu'en France...elles ne sont pas dans la marginalitĂ© ni dans les prisons elles sont intĂ©grĂ© socialement tout en pratiquant arrete de nous mettre tous dans le meme sac cest super dĂ©gradant et saoulant aussi genre les maghrebins sont des taulards cest ca? jcritique pas les USA, au contraire, mais tu compares l'incomparable tu peux pas comparer les maghrebins vivant ici en france et ceux de labas... si tu veux prendre une population comparable au maghrebins de France, il faudrait que tu prennes par ex les latinos, allez dis moi sont ils bien lotis? peut etre que oui, ou non voila il faut juste prendre la bonne population cest Ă  dire celle qui quantativement colle bien pour l'angleterre ca serait les indo-pakistanais jsais pas si jai Ă©tĂ© claire autrement bonne chance si tu vas au ztazuni 21 j'aimerais bien un jour visiter ce pays ,mais pas plus!!!je prefere plutot garder ma bonne sante et un peu plus d'argent rakoum 3arfin waRm Use with caution 22 j'aimerais bien un jour visiter ce pays ,mais pas plus!!!je prefere plutot garder ma bonne sante et un peu plus d'argent rakoum 3arfin pour les usa jsais pas trop meme si jai eu des Ă©chos, mais par exemple l'angleterre que je connais un peu, le systeme de santĂ© n'est pas top il suffit de voir ce qui se passe en ce moment meme avec les dentistes, des gens qui nont pas les moyens de se faire soigner et qui s'arrachent les dents seuls , chose qu'on ne verra pas en France bon aprĂšs pour le taf vaut mieux bouger peut etre, jsais pas trop 23 J'ai un paquet d'amis qui vivent sur New York, je vois comment ils vivent et franchement ca ne me donne pas vraiment envie de faire de meme. Meme avec un tres bon salaire la vie y est hors de prix. Dans d'autres villes je sais pas. De toute façon je ne me vois pas faire ma vie dans un pays loin aussi loin de la famille, j'ai tentĂ© le Canada, au bout d'un moment j'en ai eu marre et j'ai lachĂ© l'affaire. Je suis d'ailleurs sur le point de perdre mon statut de resident permanent. . SALAM Tu m'en apprends une chose ca reste ton choix s'Ă©tait juste une opinion et c'st vrai que la famille y est pour beaucoup c'est dure pour la mĂšre et vice versa waRm Use with caution 24 SALAM Tu m'en apprends une chose ca reste ton choix s'Ă©tait juste une opinion et c'st vrai que la famille y est pour beaucoup c'est dure pour la mĂšre et vice versa nan mais vas y, au moins en touriste, pour en savoir un peu plus aussi 25 SALAM Tu m'en apprends une chose ca reste ton choix s'Ă©tait juste une opinion et c'st vrai que la famille y est pour beaucoup c'est dure pour la mĂšre et vice versa C'est clair que c'est dur pour la mother. Perso j'avais mauvaise conscience chaque fois que je lui parlais au telephone. La plupart des gens qui vivent en amerique du nord ne peuvent pas se permettre d'aller tous les ans en europe ou au Maroc pour voir leur famille. Du coup c'est souvent un voyage tous les 2, 3 voir 4 ans. Je me souviens qu'une des raisons qui m'avait poussĂ© a ne plus repartir c'est quand j'avais vu mon pere a l'aeroport, en le voyant j'ai ete choquĂ© de me rendre compte qu'il avait vieilli. J'etais franchement pas pret a vivre ca a chaque fois Maintenant je suis au Maroc, 90 euros et deux heures de vol plus tard et me voila sur paris, ca change tout 26 Salam Beaucoup de personne que j'ai croisĂ© en France rĂȘve un jour de vivre aux Etas Unis...Et vous ahhhhhhhhhh le reve amĂ©ricain???? je pense que bcp y on rĂ©ver ou y reve encore. en ce qui me concerne j'y ai rĂ©vĂ© mais vivre la-bas tout ce qui me faut ici hamdoullilah. mon reve serai plutot finir inchallah au bled AncienMembre 27 Salam Beaucoup de personne que j'ai croisĂ© en France rĂȘve un jour de vivre aux Etas Unis...Et vous rĂȘver d'y vivre ......non d'y aller......oui et encore les usa ne sont pas en pĂŽle position dans la liste des pays que je rĂȘve de visiter..le 1er, l'indĂ©trĂŽnable...........les seychelles..... 28 VOUS REVEZ TOUS AUX ETATS UNIS ALLEZ ESSAYEZ 15JOURS OMPTE BIEN GARNIS VAUT MIEUX Ce n'est pas la France et ses droits de salariĂ©s, tu bosses ou tu crĂšves il y'en a qui ont 4 emplois....12 h / J et il ne joignent pas les deux bouts. 29 J'ai un paquet d'amis qui vivent sur New York, je vois comment ils vivent et franchement ca ne me donne pas vraiment envie de faire de meme. Forget NYC, c'est pas seulement trop cher, les gens la ont aussi des manieres assez rudes. Je prefere de loin ma petite ville dans les Rockies au sud de Denver des voisins et collegues super sympas, cout de vie tres abordable beaucoup moins eleve qu'en Europe, et en plus une coulisse de paysages superbes! Il faut savoir choisir et avoir la chance de trouver du boulot la ou on veut aller sa region aux Etats Unis... 30 AVOIR SON LOGEMENT SEUL... il ne faut pas rĂȘver non plus 31 Salam Beaucoup de personne que j'ai croisĂ© en France rĂȘve un jour de vivre aux Etas Unis...Et vous j'ai de la famille aux states, et franchement c'est pas toujours la joie. si tu possĂšdes un bon revenu certes aucun problĂšme. mais si tu viens Ă  manquer, la belle chansonnette peut virer au cauchemar. 32 AVOIR SON LOGEMENT SEUL... il ne faut pas rĂȘver non plus non c'est pas un reve ca existe,tu sais 33 j'ai de la famille aux states, et franchement c'est pas toujours la joie. si tu possĂšdes un bon revenu certes aucun problĂšme. mais si tu viens Ă  manquer, la belle chansonnette peut virer au cauchemar. Et c'est la mm chose dans le monde entier ....non??? 34 Salam Beaucoup de personne que j'ai croisĂ© en France rĂȘve un jour de vivre aux Etas Unis...Et vous moi j'ai deux choix soit j'ai la possibilite de travailler aux Usa visa et auquel cas je vais vivre la bas sinon je rentre au maroc apres une petite experience en France 35 VOUS REVEZ TOUS AUX ETATS UNIS ALLEZ ESSAYEZ 15JOURS OMPTE BIEN GARNIS VAUT MIEUX Ce n'est pas la France et ses droits de salariĂ©s, tu bosses ou tu crĂšves il y'en a qui ont 4 emplois....12 h / J et il ne joignent pas les deux bouts. Il faut pas exagerer quand meme
Voici venir les rĂȘveurs » : quand le rĂȘve amĂ©ricain devient cauchemar camerounais Deux ans aprĂšs son acquisition Ă  grands frais par l’éditeur Random House, le premier roman d’Imbolo Mbue sort enfin, en mĂȘme temps, en France et aux États-Unis. Une fable moderne sur l’immigration, qui n’a rien d’un conte merveilleux. C’est une histoire
TĂ©lĂ©charger l'article TĂ©lĂ©charger l'article Pour beaucoup, le rĂȘve amĂ©ricain c'est l'idĂ©e que l'on peut amĂ©liorer sa qualitĂ© de vie, au moins sur le plan matĂ©riel, en travaillant dur. Mais, comme le disait l'historien James Truslow Adams Il ne s'agit pas d'un rĂȘve de grosses voitures et de hauts salaires, mais d'un rĂȘve de sociĂ©tĂ© dans laquelle chaque homme et chaque femme devrait ĂȘtre capable de s'Ă©lever Ă  la hauteur de ses capacitĂ©s... » Le rĂȘve amĂ©ricain c'est bien plus qu'une maison, deux enfants et une voiture dans le garage. C'est avant tout l'idĂ©e que les AmĂ©ricains se battent pour des valeurs comme la fiertĂ©, l'individualisme, la reconnaissance et les libertĂ©s individuelles. 1 Travaillez dur. S'il y a bien une chose pour mettre tout le monde d'accord Ă  propos du rĂȘve amĂ©ricain, c'est qu'il faut travailler dur pour y arriver. Une enquĂȘte publique de 2012 a rĂ©vĂ©lĂ© que prĂšs de 90 % des personnes interrogĂ©es pensent qu'une solide Ă©thique de travail est absolument essentielle » pour atteindre ce rĂȘve. Que vous vouliez grimper les Ă©chelons de la sociĂ©tĂ© pour passer d'un niveau de vie modeste Ă  celui, plus confortable, des classes moyennes, passer de la classe moyenne Ă  une classe plus aisĂ©e ou carrĂ©ment grimper tous les Ă©chelons pour arriver au sommet, vous aurez besoin d'une solide dĂ©termination pour y parvenir. RĂ©ussir Ă  sortir du lot veut bien dire ce que ça veut dire. Il faut travailler dur pour sortir du lot par rapport Ă  tous ceux qui fournissent des efforts normaux. Pour les dĂ©butants, essayez d'abord de travailler plus dur et plus longtemps que vos collĂšgues de travail. Par exemple, si la plupart des employĂ©s quittent leur poste de travail dĂšs qu'ils en ont l'occasion, proposez de faire des heures supplĂ©mentaires. Si certains ne font que le minimum, cherchez Ă  vous occuper et Ă  en faire plus que les autres. Travailler plus que les personnes qui sont autour de vous est la meilleure façon de se faire remarquer au travail et, peut-ĂȘtre, ainsi d'obtenir des fĂ©licitations de votre supĂ©rieur, voire mĂȘme une augmentation. 2 Travaillez intelligemment. Travailler dur est effectivement essentiel pour parvenir au rĂȘve amĂ©ricain, mais travailler dur, sans ĂȘtre efficace, ne vous conduira nulle part. Aux États-Unis, il est bien plus important d'ĂȘtre reconnu comme Ă©tant particuliĂšrement efficace et productif au travail, plutĂŽt que d'ĂȘtre celui qui passe des heures Ă  rĂ©aliser des tĂąches qui pourraient ĂȘtre accomplies plus facilement avec une meilleure technique. Efforcez-vous toujours d'amĂ©liorer votre rendement, encore plus au travail. Demandez-vous Comment est-ce que je pourrais faire mon travail plus rapidement ? », Plus simplement ? », Avec moins d'efforts ? » et ainsi de suite. Vous trouverez ci-dessous quelques conseils pour commencer Ă  amĂ©liorer votre productivitĂ©. Si vous travaillez sur ordinateur, rĂ©digez sous forme de script ou demandez Ă  un ami expĂ©rimentĂ© de le faire pour vous les tĂąches, mĂȘme Ă©lĂ©mentaires, que vous devez rĂ©aliser le plus souvent. Si vous ĂȘtes dĂ©bordĂ©s de travail, n'hĂ©sitez pas Ă  dĂ©lĂ©guer. Si vous ĂȘtes gĂ©rant de votre entreprise, faites appel Ă  une agence spĂ©cialisĂ©e pour sous-traiter toutes les tĂąches qui vous prennent trop de temps la comptabilitĂ©, la gestion des salaires
 Trouvez des solutions crĂ©atives pour vos problĂšmes rĂ©currents. Par exemple, si vous ĂȘtes serveur et que vous vous rendez compte que vous perdez beaucoup de temps Ă  faire des allers et retours Ă  la machine Ă  glaçons, prenez un pichet de glaçons quand vous passez de table en table. Investissez dans du matĂ©riel de bonne qualitĂ©. Assurez-vous d'ĂȘtre suffisamment reposĂ© afin de pouvoir consacrer toute votre attention Ă  votre travail. 3 Formez-vous. Il y a certes de nombreuses histoires qui circulent aux États-Unis sur des gens qui sont devenus riches et cĂ©lĂšbres sans aucun diplĂŽme, mais, en gĂ©nĂ©ral, sortir diplĂŽmĂ© de l'Ă©cole est un plus pour rĂ©ussir votre carriĂšre, tout comme votre vie personnelle. Un diplĂŽme de base, comme le baccalaurĂ©at, vous donnera dĂ©jĂ  un niveau de connaissances qui vous aidera Ă  vous sentir Ă  l'aise et compĂ©titif dans le monde actuel. Un niveau plus Ă©levĂ©, que vous obtiendrez en allant Ă  la fac, vous donnera un savoir plus pointu et des compĂ©tences qui vous rendront plus attrayant aux yeux des employeurs et qui vous ouvriront plus de portes sur le marchĂ© de l'emploi. Au-delĂ  d'un master, vos qualifications seront encore plus pointues. D'une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, il est dans l'intĂ©rĂȘt de chacun d'obtenir le meilleur niveau de qualification possible. De plus, certains mĂ©tiers exigent d'avoir fait les Ă©tudes adĂ©quates. Par exemple, vous ne pourrez pas devenir mĂ©decin sans ĂȘtre allĂ© en fac de mĂ©decine, vous ne deviendrez pas avocat sans avoir fait des Ă©tudes de droit et vous ne serez pas architecte sans ĂȘtre diplĂŽmĂ© d'une Ă©cole d'architecture. En obtenant un niveau de qualification plus Ă©levĂ©, vous pourrez revoir Ă  la hausse vos prĂ©tentions salariales. Ainsi, quelqu'un qui a passĂ© au moins deux annĂ©es Ă  la fac gagnera, en moyenne, 200 000 euros de plus, sur l'ensemble de sa carriĂšre, que quelqu'un qui n'est pas allĂ© Ă  l'universitĂ© [1] . 4 Soyez entreprenant. Les gens qui veulent vraiment se mettre en avant devraient toujours ĂȘtre Ă  l'affut des diverses opportunitĂ©s de gagner de l'argent, aussi bien dans leur travail qu'Ă  cĂŽtĂ©. Il y a un nombre incalculable de façons de s'y prendre. Partout oĂč vous voyez un besoin que vous ĂȘtes capable de combler, il y a une opportunitĂ© de se faire de l'argent. Les occasions de gagner de l'argent peuvent parfois ĂȘtre plus simples qu'on ne le croirait. Par exemple, si vous ĂȘtes expert-comptable, vous pouvez offrir vos services autour de vous, Ă  vos amis, pour gagner un peu plus d'argent en pĂ©riode de dĂ©claration d'impĂŽts. Pourtant, certaines grandes sociĂ©tĂ©s ont bĂąti leur fortune en offrant des solutions Ă  des problĂšmes qui n'Ă©taient pas forcĂ©ment visibles. L'exemple le plus connu est surement celui de Mark Zuckerberg. Cet AmĂ©ricain est devenu le plus jeune milliardaire du monde en inventant, avec ses camarades, un rĂ©seau social interplanĂ©taire, permettant ainsi aux gens de rester en contact les uns avec les autres d'une façon qui Ă©tait jusqu'alors impensable. Cela dit, vous n'avez pas besoin d'inventer le prochain Facebook pour rĂ©ussir aux États-Unis, mais vous pouvez essayer d'ĂȘtre entreprenant et crĂ©atif Ă  votre niveau. Par exemple, crĂ©er son entreprise Ă  la maison et Ă  temps partiel peut s'avĂ©rer ĂȘtre une bonne solution pour gagner de l'argent avec un investissement minimum. Bien Ă©videmment, peu importe la solution que vous choisissiez pour gagner de l'argent, vous devez toujours vous assurer d'ĂȘtre en rĂšgle avec la loi et la fiscalitĂ© de votre pays. Ainsi, si vous vous lancez dans une affaire illĂ©gale, vous risquez de vous retrouver en prison, ce qui ne fera que vous Ă©loigner de votre objectif de dĂ©part [2] . 5 Faites des Ă©conomies. Trop de gens dĂ©pensent des sommes folles pour des choses dont ils n'ont mĂȘme pas besoin. Si vous voulez vous offrir une vie confortable sur le long terme, il serait sage d'Ă©viter ce genre de dĂ©penses inutiles dĂšs Ă  prĂ©sent. Renoncer Ă  quelques petits extras comme un abonnement aux chaines du cĂąble, des repas dans des restaurants onĂ©reux ou des vacances inutiles, peut vous aider Ă  Ă©conomiser de l'argent qui sera plus utile sur le long terme. Vous pourrez ainsi rĂ©gler vos dettes, investir dans des projets ou placer votre argent pour votre retraite. La meilleure technique pour contrĂŽler vos dĂ©penses est d'Ă©tablir un budget pour votre mĂ©nage. Pointer toutes ses dĂ©penses mensuelles et comparer le prĂ©visionnel aux dĂ©penses rĂ©elles peut ĂȘtre une expĂ©rience enrichissante qui vous aidera Ă  identifier les postes de dĂ©penses pour lesquels vous devez faire attention. Il y a d'autres solutions pour faire des Ă©conomies comme trouver un logement moins cher, faire les courses dans des magasins de discount, faire du covoiturage ou utiliser davantage les transports publics plutĂŽt que de toujours prendre sa voiture. Vous pouvez aussi faire des efforts pour diminuer vos factures de chauffage ou de climatisation. Pour plus d'informations Ă  ce sujet, lisez ce wikiHow. 6 Consacrez-vous Ă  vos passions. Bien sĂ»r, ceux qui sont Ă  la poursuite du rĂȘve amĂ©ricain se doivent de travailler dur, mais personne ne sera heureux en consacrant toute sa vie exclusivement au travail. Le rĂȘve amĂ©ricain c'est aussi avoir la libertĂ© de faire tout un tas de choses, en parallĂšle de sa vie professionnelle, pour ĂȘtre heureux et Ă©panoui. Passez donc du temps Ă  faire des choses qui vous plaisent. Il peut s'agir de loisirs comme l'Ă©criture, le sport, entretenir votre voiture ou, tout simplement, passer du temps avec votre famille. Si vous aimez votre travail, tant mieux ! Pouvoir gagner de l'argent en faisant un travail qui est Ă©galement une passion est un luxe qui n'est pas donnĂ© Ă  tout le monde. Si vous n'adorez pas votre travail, ce n'est pas grave non plus. Gardez-le et investissez-vous au mieux, mais gardez toujours un peu de temps libre pour vos loisirs ou pour chercher un autre emploi afin de garder le moral. 7 Devenez propriĂ©taire. Il n'est bien sĂ»r pas nĂ©cessaire d'ĂȘtre propriĂ©taire de sa maison pour mener une vie heureuse, mais la plupart des AmĂ©ricains sont propriĂ©taires de leur maison ou souhaitent le devenir [3] . MĂȘme suite Ă  la rĂ©cente crise Ă©conomique qui a bouleversĂ© le marchĂ© de l'immobilier, la premiĂšre source de richesse des AmĂ©ricains est toujours leur maison. Le fait d'avoir un prĂȘt bancaire vous permet de construire votre maison et de l'amĂ©liorer au fil des annĂ©es, selon vos rentrĂ©es d'argent. Cela aide aussi Ă  envisager la retraite plus sereinement. Ainsi, si vous pouvez vendre votre maison Ă  un bon prix quand vous serez ĂągĂ©, vous pourrez augmenter considĂ©rablement votre niveau de vie de retraitĂ©. PossĂ©der sa maison n'est pas uniquement un avantage matĂ©riel. Être propriĂ©taire de sa maison vous apporte une certaine forme de libertĂ© qui vous permet de vivre votre vie comme vous l'entendez. Ainsi, quand vous ĂȘtes propriĂ©taire, vous ĂȘtes libre de faire des travaux pour agrandir votre cuisine si vous trouvez celle-ci trop exigĂŒe. Chose que vous ne pourriez pas faire en Ă©tant locataire. De plus, de nombreux AmĂ©ricains trouvent que le fait d'ĂȘtre propriĂ©taire leur apporte un sentiment de satisfaction et de sĂ©curitĂ©. 1 Apprenez vos droits de citoyen. La Constitution amĂ©ricaine, l'un des fondements qui dĂ©finissent les États-Unis, offre tout un tas de libertĂ©s aux citoyens amĂ©ricains. Et chacun devrait avoir pleinement connaissance de ses droits en tant que citoyen. Profiter de ses libertĂ©s peut vous aider Ă  vous crĂ©er une vie heureuse, enrichissante et Ă©panouissante. De plus, si vous ne connaissez pas vos droits, vous ĂȘtes davantage susceptible de passer Ă  cĂŽtĂ© de certaines opportunitĂ©s ou d'ĂȘtre abusĂ©. Vous trouverez ci-dessous une liste des droits les plus Ă©lĂ©mentaires rĂ©gis par la Constitution ceux-ci sont tous issus de la dĂ©claration de droits du dixiĂšme amendement de la Constitution [4] . La libertĂ© d'expression qui englobe la libertĂ© de la presse, le droit de manifester et de solliciter le gouvernement par pĂ©tition. Le droit de pratiquer votre religion ou de ne pas en avoir. Le droit de porter une arme et donc de possĂ©der une arme Ă  feu. La protection contre les perquisitions illĂ©gales et les confiscations. La protection contre les faux tĂ©moignages Ă  votre encontre concernant des questions lĂ©gales. Le droit Ă  un procĂšs public composĂ© d'un jury. La protection contre des sanctions cruelles et inappropriĂ©es ». 2 Usez de votre libertĂ© d'expression. La libertĂ© d'expression est peut-ĂȘtre la plus citĂ©e et la plus utilisĂ©e des libertĂ©s constitutionnelles. Les États-Unis sont un pays libre. Les AmĂ©ricains ont le droit de dire Ă  peu prĂšs tout ce qu'ils veulent quand il s'agit d'exprimer leur opinion, Ă  la condition de le faire dans le respect d'autrui. En thĂ©orie, cela veut dire qu'il est permis d'avoir des convictions personnelles et politiques, de les partager avec d'autres, mĂȘme si ces convictions sont contraires Ă  l'ordre public », tant que vous n'enfreignez pas la loi. Notez bien que certaines paroles, qui ont pour but de nuire Ă  autrui, peuvent ĂȘtre jugĂ©es anticonstitutionnelles. Un exemple, qui est d'ailleurs souvent repris par la Cour suprĂȘme de Justice, est celui d'Oliver Wendell Holmes Junior qui, en 1919, cria Au feu ! » dans une salle de cinĂ©ma bondĂ©e. Étant donnĂ© que cette action peut entrainer un danger rĂ©el et immĂ©diat pour les personnes qui vous entourent, vous risquez d'ĂȘtre arrĂȘtĂ© si vous vous amusez Ă  le faire [5] . Il est Ă©galement important de bien comprendre que la libertĂ© d'expression ne vous protĂšge pas forcĂ©ment contre les consĂ©quences » de vos actions. Par exemple, si le prĂ©sident d'une entreprise tient publiquement des propos racistes, il n'est pas Ă  l'abri de se faire virer pour cette raison par son Conseil d'administration. La libertĂ© d'expression ne signifie pas que vos paroles seront toujours sans consĂ©quence. 3 Pratiquez votre religion librement. Les pĂšlerins qui sont venus Ă  bord du Mayflower, parmi les tout premiers habitants des États-Unis, ont fait ce voyage parce qu'ils Ă©taient Ă  la recherche d'un endroit oĂč ils pourraient exercer librement leur religion, sans crainte d'ĂȘtre harcelĂ©s ou persĂ©cutĂ©s. Aujourd'hui encore, les États-Unis ont gardĂ© cette tolĂ©rance Ă  l'Ă©gard de la religion. Les AmĂ©ricains sont libres de pratiquer n'importe quelle religion ou de ne pas en avoir du tout si tel est leur choix. Toutes les formes de croyances sont autorisĂ©es aux États-Unis et les Ă©glises officiellement reconnues sont mĂȘme dispensĂ©es de payer des impĂŽts [6] . Comme pour la libertĂ© d'expression, les AmĂ©ricains ont le droit de pratiquer la religion de leur choix, mais pas de commettre des crimes ni de mettre en danger autrui au nom de cette religion. Par exemple, si les membres d'une certaine religion dĂ©cidaient subitement, au nom de leur religion, de conduire Ă  contresens sur l'autoroute, ils se feraient bien Ă©videmment arrĂȘter pour ça. 4 Votez ! Chaque AmĂ©ricain majeur a le droit mais c'est presque un devoir de participer Ă  la vie politique de son pays en votant. L'Ăąge lĂ©gal pour voter est de 18 ans dans la plupart des Ă©tats, mais dans quelques-uns on peut voter dĂšs 17 ans [7] . Le droit de vote est l'un des droits les plus importants que possĂšdent les AmĂ©ricains. Le vote permet Ă  chaque citoyen de faire entendre sa voix concernant les dĂ©cisions gouvernementales. Avec le droit de vote, chaque citoyen a le mĂȘme pouvoir. Peu importe que quelqu'un soit riche, puissant ou influent, son vote aura le mĂȘme poids que celui d'un ouvrier qui gagne le SMIC. Il est du devoir de chaque homme amĂ©ricain de se faire recenser, notamment au niveau militaire, pour avoir le droit de voter [8] . Dans certains Ă©tats, les personnes qui ont eu des ennuis avec la justice ne peuvent pas voter, mĂȘme aprĂšs avoir effectuĂ© leur peine [9] . 5 Profitez de la chance que vous avez de pouvoir choisir votre vie. Aux États-Unis, les gens sont libres de vivre leur vie comme ils l'entendent. Les gens sont libres de choisir leurs habitudes, leurs loisirs et leurs centres d'intĂ©rĂȘt tant qu'ils ne blessent personne et qu'ils n'enfreignent pas la loi. Les gens peuvent faire ce qu'ils veulent de leur temps libre. On peut ainsi ĂȘtre banquier et jouer dans un groupe punk, faire la plonge dans un restaurant et spĂ©culer sur la bourse ou ĂȘtre Ă©lectricien et Ă©tudier l'archĂ©ologie. Chacun est libre de choisir sa voie, il n'y a pas de bonne » façon de vivre sa vie. Les AmĂ©ricains sont libres de s'associer avec qui ils veulent et de poursuivre n'importe quel but. Mais attention, les AmĂ©ricains sont libres de vivre leur vie comme ils l'entendent Ă  la seule condition de respecter la loi. Certaines activitĂ©s tout Ă  fait innocentes » dans certains pays peuvent ĂȘtre illĂ©gales aux États-Unis. Ainsi, certaines drogues sont illĂ©gales aux États-Unis alors qu'elles sont dĂ©pĂ©nalisĂ©es ou tolĂ©rĂ©es dans certains pays europĂ©ens [10] . 6 Interpelez l'opinion publique. Un aspect important de la rĂ©alisation du rĂȘve amĂ©ricain c'est la volontĂ© de se battre pour ses principes individuels. Tout au long de leur histoire, les États-Unis ont toujours mis Ă  l'honneur les fortes personnalitĂ©s capables de faire face Ă  l'opinion publique. De nombreux AmĂ©ricains sont entrĂ©s dans l'histoire pour avoir un jour osĂ© affronter l'opinion publique ou les institutions de la sociĂ©tĂ© qui Ă©taient contraires Ă  leur Ă©thique personnelle. Ainsi, quelques AmĂ©ricains cĂ©lĂšbres comme Abraham Lincoln, Rosa Parks, Cesar Chavez ou des icĂŽnes plus contemporaines comme Steve Jobs, sont entrĂ©s dans la lĂ©gende en changeant les choses grĂące Ă  leur volontĂ© d'aller Ă  contrecourant et de changer le monde. Être un individualiste signifie dĂ©fendre ses valeurs et avoir le courage d'affronter la norme imposĂ©e par la sociĂ©tĂ©, mais cela ne veut pas dire qu'il ne faut jamais accepter l'aide d'autrui. Certaines tĂąches sont difficiles, voire impossibles sans l'aide des autres. La fiertĂ© pousse parfois les gens Ă  penser qu'ils peuvent tout faire seuls dans la vie, mais c'est faux. Pour preuve, beaucoup de grosses compagnies amĂ©ricaines ont Ă©tĂ© créées grĂące Ă  des petits emprunts contractĂ©s auprĂšs de la famille, des amis ou grĂące Ă  l'appui du gouvernement. 7 Soyez novateur. L'innovation est devenue l'une des valeurs nationales prĂ©fĂ©rĂ©es des AmĂ©ricains depuis plus d'un siĂšcle et c'est encore le cas aujourd'hui. L'innovation est toujours citĂ©e en exemple, notamment par les reprĂ©sentants politiques [11] comme Ă©tant la clĂ© de la croissance continue et de la rĂ©ussite nationale. Aux États-Unis les personnes qui rĂ©ussissent Ă  innover avec succĂšs sont plus susceptibles d'arriver Ă  l'Ă©panouissement personnel, Ă  la richesse matĂ©rielle et Ă  la reconnaissance gĂ©nĂ©rale. Par exemple, quelques-uns des inventeurs les plus connus des États-Unis, comme Henry Ford, Thomas Edison et bien d'autres, sont reconnus pour avoir changĂ© le monde grĂące Ă  leur travail rĂ©volutionnaire. Cela dit, vous n'avez pas besoin d'ĂȘtre un Edison des temps modernes pour avoir une chance de vivre le rĂȘve amĂ©ricain. MĂȘme de toutes petites innovations, dans votre vie quotidienne, peuvent largement contribuer Ă  amĂ©liorer votre vie. Par exemple, en trouvant une solution pour que votre employeur gagne plus d'argent, vous pouvez ĂȘtre amenĂ© Ă  dĂ©crocher une promotion et Ă  gagner le respect de vos collĂšgues. 1 Forcez-vous Ă  vous amĂ©liorer. Tout le monde a pu remarquer que les AmĂ©ricains ont un penchant pour les autodidactes et les gens qui cherchent sans cesse Ă  s'amĂ©liorer. Personne n'est nĂ© avec les clĂ©s du succĂšs. Pour parvenir Ă  cet individualisme fort et puissant, valeur centrale du rĂȘve amĂ©ricain, il est essentiel d'avoir envie de toujours s'amĂ©liorer, en toutes circonstances. Qu'il s'agisse de dĂ©velopper une nouvelle compĂ©tence, d'apprendre une deuxiĂšme langue ou d'Ă©tudier les stratĂ©gies de la rĂ©ussite commerciale, pratiquement toutes les tentatives visant l'amĂ©lioration personnelle peuvent vous aider Ă  devenir plus fort, plus polyvalent ou plus productif. Vous trouverez ci-dessous une petite liste d'idĂ©es pour vous amĂ©liorer amĂ©liorez votre condition physique la course Ă  pied, la musculation
 apprenez les techniques de vente intĂ©ressez-vous Ă  l'histoire moderne et Ă  l'actualitĂ© pratiquez un art martial devenez douĂ© dans un loisir ou une activitĂ© crĂ©ez un groupe d'art ou de musique 2 Soyez un leadeur. Les fiers individualistes amĂ©ricains n'ont pas peur d'affronter les problĂšmes la tĂȘte haute. Si vous rĂ©agissez souvent de cette maniĂšre, cela fait de vous un leadeur, un meneur d'hommes qui prend ses responsabilitĂ©s. Avoir le courage de se porter volontaire pour des missions, importantes ou non, qui imposent de diriger peut faire toute la diffĂ©rence aux yeux des gens et vous aider Ă  gagner en reconnaissance. Une bonne façon de devenir un leadeur est de se prĂ©senter pour des Ă©lections locales. Si vous le faites, cela vous donnera une vitrine pour faire passer vos idĂ©es et, en cas de victoire, une belle opportunitĂ© d'apporter des changements qui vous tiennent Ă  cƓur. MĂȘme si vous ne gagnez pas, il suffit que votre campagne soit suffisamment mĂ©diatisĂ©e pour faire avancer le dĂ©bat et pousser ceux qui font les lois Ă  vous Ă©couter. Vous n'avez pas besoin de faire partie du gouvernement pour devenir un acteur local. Le fait de vous porter volontaire pour des Ɠuvres de charitĂ© ou des associations locales peut suffire Ă  faire de vous un leadeur aux yeux des autres. 3 Ayez une vie citoyenne bien remplie. Les États-Unis sont fondĂ©s sur le principe de la dĂ©mocratie reprĂ©sentative. Cela signifie que, plus il y a de personnes qui prennent part Ă  la vie politique en votant, plus le gouvernement sera reprĂ©sentatif de ses citoyens. C'est pour cela que tous ceux qui ont le droit de voter doivent le faire. Cependant, ce n'est pas la seule façon de participer activement Ă  la vie citoyenne de votre pays. Par exemple, les citoyens peuvent intĂ©grer un parti politique qui reprĂ©sente leurs opinions et y travailler bĂ©nĂ©volement pour diffuser leur message. Ou, s'ils se sentent particuliĂšrement concernĂ©s par une certaine cause, ils peuvent mĂȘme crĂ©er leur propre association politique. Vous trouverez ci-dessous une petite liste d'idĂ©es pour vous investir davantage dans la vie politique participez Ă  des tables rondes politiques ou Ă  des forums rejoignez ou lancez un groupe de manifestation portez-vous volontaire pour rĂ©colter des signatures pour un parti politique ou pour une cause prĂ©cise faites des dons Ă  un parti politique de votre choix 4 Grimpez les Ă©chelons de la sociĂ©tĂ©. Il n'y a rien de plus typiquement amĂ©ricain que ces histoires de succĂšs qui parlent de personnes parties de rien pour se construire une vie de richesse et de pouvoir. Peu importe que vous soyez pauvre, immigrant ou un citoyen bien installĂ©, tout le monde peut se faire un nom aux États-Unis tant qu'il a envie de travailler dur, de se montrer crĂ©atif et de se battre pour ses valeurs personnelles. Bien sĂ»r, il est mathĂ©matiquement impossible que chacun devienne incroyablement riche et cĂ©lĂšbre, mais tout le monde peut espĂ©rer finir sa carriĂšre Ă  un rang social plus Ă©levĂ© qu'au commencement et se faire un nom en devenant un acteur important de la vie locale. Si vous grimpez les Ă©chelons de la sociĂ©tĂ©, ne vous sentez jamais intimidĂ©s par la perspective de cĂŽtoyer des personnes issues de sphĂšres sociales plus Ă©levĂ©es que la vĂŽtre. Aux États-Unis, plus qu'ailleurs, le destin d'une personne n'est pas dĂ©terminĂ© par sa naissance, mais bien par sa volontĂ© et ses compĂ©tences. Si vous parvenez Ă  vous Ă©lever jusqu'Ă  un certain niveau social, vous pourrez lĂ©gitimement vous considĂ©rer comme Ă©gaux avec ceux qui sont nĂ©s dans l'aisance et les privilĂšges. 5 Inspirez-vous des plus grands exemples de succĂšs amĂ©ricain. Poursuivre le rĂȘve amĂ©ricain n'est pas simple. Comme cela a Ă©tĂ© expliquĂ© prĂ©cĂ©demment, chercher Ă  amĂ©liorer sa condition tout en menant sa vie d'individu libre et indĂ©pendant nĂ©cessite du travail et des efforts personnels. Si vous avez parfois du mal Ă  trouver l'Ă©nergie de vous battre pour votre rĂȘve, regardez ces grandes icĂŽnes amĂ©ricaines qui ont connu le succĂšs et vous vous sentirez remotivĂ©s. Beaucoup de ces hĂ©ros de la vraie vie ont rĂ©ussi Ă  se construire une vie influente en ne partant de rien ou Ă  se battre contre la sociĂ©tĂ© de l'Ă©poque pour amĂ©liorer leur pays voire le monde. Vous en trouverez quelques exemples ci-dessous. Andrew Carnegie pauvre immigrant Ă©cossais, Carnegie a commencĂ© sa carriĂšre comme porteur de bobines dans une manufacture avant de devenir l'un des industriels les plus importants et les plus puissants du monde [12] . Susan B. Anthony en se battant sans relĂąche pour promouvoir le droit de vote des femmes, en allant mĂȘme jusqu'Ă  se faire arrĂȘter, Anthony a largement contribuĂ© Ă  l'obtention du droit de vote pour les femmes aux USA [13] . Jawed Karim cet immigrant, surtout connu pour ĂȘtre le cofondateur de YouTube, a participĂ© Ă  la crĂ©ation du site de paiement en ligne PayPal. Jay Z nĂ© Shawn Carter, cette icĂŽne de la musique amĂ©ricaine s'est Ă©levĂ©e d'une vie de crime et de pauvretĂ© pour devenir l'une des personnalitĂ©s les plus riches et les plus puissantes de l'industrie musicale. Conseils N'ayez pas peur de prendre un risque mesurĂ©. Les États-Unis ont de bons filets de sĂ©curitĂ©, aussi bien dans le public que dans le privĂ©. Ne vous laissez pas submerger par les dĂ©penses. Avec deux salaires relativement corrects, mĂȘme une maison Ă  700 000 € peut ĂȘtre remboursĂ©e le temps que vous finissiez votre carriĂšre. Tirez profit du systĂšme Ă©ducatif des Ă©coles publiques. Vivez selon vos moyens. Courrez aprĂšs des objectifs rĂ©alisables. Si vous voulez devenir le prochain Bill Gates, vous avez intĂ©rĂȘt Ă  vous y connaitre en informatique. Si vous voulez creuser des tranchĂ©es
 Vous avez compris le principe. Avertissements Vous avez le droit de courir aprĂšs le bonheur, il n'y a juste aucune garantie ! Le cauchemar amĂ©ricain est tout proche du rĂȘve amĂ©ricain. Faites trĂšs attention aux conseils que vous dĂ©cidez de suivre. Un mauvais conseil peut vous conduire sur la mauvaise voie. N'Ă©coutez les conseils sur la vie de couple que s'ils viennent de couples heureux en mariage. N'Ă©coutez les conseils financiers que s'ils viennent de gens qui savent gĂ©rer leur budget et qui ont rĂ©ussi, pas de ceux qui sont criblĂ©s de dettes. Le stress, la dĂ©pression et toute autre forme de burnout » professionnel peuvent vous stopper dans votre quĂȘte et mettre en danger votre couple. Faites attention aux symptĂŽmes annonciateurs et n'hĂ©sitez pas Ă  consulter un professionnel si vous en ressentez le besoin. À propos de ce wikiHow Cette page a Ă©tĂ© consultĂ©e 38 212 fois. Cet article vous a-t-il Ă©tĂ© utile ? HF10.
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